Comment perdre la santé, Ce que malades et bien-portants doivent savoir
EAN13
9782868393838
ISBN
978-2-86839-383-8
Éditeur
"François-Xavier de Guibert"
Date de publication
Collection
Écologie humaine
Nombre de pages
296
Dimensions
21 x 14 x 2 cm
Poids
338 g
Langue
français
Code dewey
610
Fiches UNIMARC
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Comment perdre la santé

Ce que malades et bien-portants doivent savoir

De

Préface de

"François-Xavier de Guibert"

Écologie humaine

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Pensez-vous que la maladie soit un méchant hasard? Un mal funeste et absurde, une fatalité inscrite dans quelque gène tordu?
Croyez-vous qu'il suffise de bien manger pour vivre en bonne santé?
SAVEZ-VOUS VRAIMENT D'OU VIENT LA MALADIE?
IL N'EST PLUS POSSIBLE DE CROIRE QU'A UNE MALADIE CORRESPOND UNE SEULE CAUSE.
Les maladies les plus courantes ont ceci de commun d'avoir de plus nombreuses racines qu'il n'y paraît souvent.
Ni le microbe le plus virulent, ni la substance cancérigène la plus puissante ne sont suffisants pour déclencher une maladie; il y faut une combinaison de plusieurs éléments plus ou moins intriqués, et, chaque fois, différents.
La santé de l'individu dépend de son patrimoine génétique, de son histoire personnelle, qui a façonné son psychisme et biensûr des relations qu'il a avec son environnement, c'est à dire avec l'air, l'eau, la lumière, les aliments qu'il absorbe, les personnes qu'il rencontre. Ainsi, la santé dépend-elle de notre façon de vivre, du travail qui ,nous occupe ou qui nous manque, de l'état de la société où nous vivons. L'environnement agit directement, il modifie ainsi le moral et les comportements... et même la génétique!
Les moyens existent maintenant de contrôler ce qui, aujourd'hui, mène trop souvent à la maladie.
Les menaces sur la santé de nos enfants sont dès aujourd'hui visibles.
A moyen terme, l'amélioration de la santé des individus passe par une meilleure santé de la société: la fréquence et la nature des maladies rencontrées dans une société donnée, reflètent l'état matériel, les rapports économiques, mais aussi la conception du bonheur, la culture de cette société.
A l'évidence il sera difficile d'agir efficacement sur les causes premières des "maladies du siècle", en un mot d'avoir une politique de santé si l'on ne veut, ou ne peut, fondamentalement rien changer à l'organisation et au fonctionnement de la société.
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