- EAN13
- 9782720216343
- Éditeur
- Fayard/Pauvert
- Date de publication
- 10/02/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard/Pauvert 25,00
Quel point commun entre Billie Holiday et Stephen King ? Entre Amy Winehouse,
Marguerite Duras et l’auteure de ce livre ? L’art – l’art et l’addiction.
Après ses Examens d’empathie, Leslie Jamison se penche sur les liens entre
écriture et toxicomanie, en commençant par sa propre expérience. De sa
première gorgée de champagne au délitement de sa vie de jeune adulte, Leslie
Jamison livre un témoignage sincère sur l’emprise de l’alcool et son chemin
vers la sobriété. Elle met en regard sa propre trajectoire éthylique avec
celles de femmes et d’hommes de lettres tels que Raymond Carver, William
Burroughs, Jean Rhys et David Foster Wallace, déboulonnant page à page le
mythe de l’ivresse inspirée. Ce chœur de voix dessine les contours d’un récit
commun qui en dit autant sur les toxicomanes que sur la société qui, selon la
couleur de leur peau, leur origine sociale ou leur genre, réécrit leurs
histoires.
À la croisée de l’enquête socio-littéraire et des mémoires, le nouveau livre
de l’héritière de Susan Sontag et de Joan Didion est un témoignage fascinant
ainsi qu’une somme d’une prodigieuse érudition sur l’addiction, et, plus
encore, une cure collective salutaire.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Emmanuelle et Philippe Aronson
« Un témoignage d’une justesse pénétrante et d’une grande tendresse. »
The Washington Post
« L’exemple rare d’un témoignage sur l’addiction qui devient encore meilleur
une fois que la sobriété reprend ses droits. »
The New York Times
Marguerite Duras et l’auteure de ce livre ? L’art – l’art et l’addiction.
Après ses Examens d’empathie, Leslie Jamison se penche sur les liens entre
écriture et toxicomanie, en commençant par sa propre expérience. De sa
première gorgée de champagne au délitement de sa vie de jeune adulte, Leslie
Jamison livre un témoignage sincère sur l’emprise de l’alcool et son chemin
vers la sobriété. Elle met en regard sa propre trajectoire éthylique avec
celles de femmes et d’hommes de lettres tels que Raymond Carver, William
Burroughs, Jean Rhys et David Foster Wallace, déboulonnant page à page le
mythe de l’ivresse inspirée. Ce chœur de voix dessine les contours d’un récit
commun qui en dit autant sur les toxicomanes que sur la société qui, selon la
couleur de leur peau, leur origine sociale ou leur genre, réécrit leurs
histoires.
À la croisée de l’enquête socio-littéraire et des mémoires, le nouveau livre
de l’héritière de Susan Sontag et de Joan Didion est un témoignage fascinant
ainsi qu’une somme d’une prodigieuse érudition sur l’addiction, et, plus
encore, une cure collective salutaire.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Emmanuelle et Philippe Aronson
« Un témoignage d’une justesse pénétrante et d’une grande tendresse. »
The Washington Post
« L’exemple rare d’un témoignage sur l’addiction qui devient encore meilleur
une fois que la sobriété reprend ses droits. »
The New York Times
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