- EAN13
- 9782021528626
- ISBN
- 978-2-02-152862-6
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 08/11/2024
- Collection
- Cadre vert
- Nombre de pages
- 992
- Dimensions
- 24 x 15,9 x 4,3 cm
- Poids
- 1314 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Une saga jubilatoire et réjouissante par l’auteur de l’inoubliable
Monde selon Garp
.
1941. À Aspen, Colorado, la jeune Rachel Brewster, dite « Little Ray », échoue aux épreuves de slalom mais réussit à tomber enceinte. De retour chez ses parents, elle devient monitrice de ski et élève son fils Adam dans un climat de tendre complicité. Ainsi débutent sept décennies d’une fresque débridée peuplée de personnages irrésistibles qui, dans la très conventionnelle Nouvelle-Angleterre, défient les conventions. Adulte, c'est à l’Hotel Jerome d’Aspen, hanté par de nombreux fantômes, qu'Adam tentera d'élucider les secrets bien gardés de son étonnante famille.
Paternité mystérieuse, mère « sans fil à la patte », transgressions en tous genres et sexe à tous les étages – sans oublier une savoureuse relecture de
Moby-Dick
: autant de thèmes où l’imagination vertigineuse et la truculence de John Irving font merveille, pour le plus grand bonheur des fans de la première heure et celui d’une nouvelle génération de lecteur.
Après sept ans de silence, saluons le grand retour d’un romancier visionnaire qui prône depuis toujours la liberté de mœurs, la tolérance et l’amour inconditionnel.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Élisabeth Peellaert
John Irving
, né en 1942, a vécu en Nouvelle-Angleterre avant de s’installer au Canada. Depuis la parution du
Monde selon Garp
, couronné par le National Book Award, qui l’a propulsé en 1978 sur la scène littéraire internationale, il a accumulé les succès tant auprès du public que de la critique. Ses œuvres sont traduites dans une quarantaine de langues.
Les Fantômes de l’Hotel Jerome
est son quinzième roman.
Élisabeth Peellaert
travaille entre Paris, où elle est née, et son Piémont tout récemment adopté. Elle a signé une quarantaine de traductions qui furent autant d’occasions d’embarquer dans d’autres existences émotionnelles et cérébrales et de cohabiter avec des voix aussi singulières que celles de Peter Carey, Nik Cohn, Jonathan Dee, Nathan Englander, Doireann ni Ghriofa, Allan Gurganus, Garth Risk Hallberg, Tim Willocks, Tobias Wolff...
Monde selon Garp
.
1941. À Aspen, Colorado, la jeune Rachel Brewster, dite « Little Ray », échoue aux épreuves de slalom mais réussit à tomber enceinte. De retour chez ses parents, elle devient monitrice de ski et élève son fils Adam dans un climat de tendre complicité. Ainsi débutent sept décennies d’une fresque débridée peuplée de personnages irrésistibles qui, dans la très conventionnelle Nouvelle-Angleterre, défient les conventions. Adulte, c'est à l’Hotel Jerome d’Aspen, hanté par de nombreux fantômes, qu'Adam tentera d'élucider les secrets bien gardés de son étonnante famille.
Paternité mystérieuse, mère « sans fil à la patte », transgressions en tous genres et sexe à tous les étages – sans oublier une savoureuse relecture de
Moby-Dick
: autant de thèmes où l’imagination vertigineuse et la truculence de John Irving font merveille, pour le plus grand bonheur des fans de la première heure et celui d’une nouvelle génération de lecteur.
Après sept ans de silence, saluons le grand retour d’un romancier visionnaire qui prône depuis toujours la liberté de mœurs, la tolérance et l’amour inconditionnel.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Élisabeth Peellaert
John Irving
, né en 1942, a vécu en Nouvelle-Angleterre avant de s’installer au Canada. Depuis la parution du
Monde selon Garp
, couronné par le National Book Award, qui l’a propulsé en 1978 sur la scène littéraire internationale, il a accumulé les succès tant auprès du public que de la critique. Ses œuvres sont traduites dans une quarantaine de langues.
Les Fantômes de l’Hotel Jerome
est son quinzième roman.
Élisabeth Peellaert
travaille entre Paris, où elle est née, et son Piémont tout récemment adopté. Elle a signé une quarantaine de traductions qui furent autant d’occasions d’embarquer dans d’autres existences émotionnelles et cérébrales et de cohabiter avec des voix aussi singulières que celles de Peter Carey, Nik Cohn, Jonathan Dee, Nathan Englander, Doireann ni Ghriofa, Allan Gurganus, Garth Risk Hallberg, Tim Willocks, Tobias Wolff...
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